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1er décembre, le tribunal correctionnel siégeait sur notre île en audience foraine. Dans les locaux de la Chambre économique multiprofessionnelle (CEM). Parmi les affaires à l’audience figu- raient les infractions reprochées à un loueur de bateaux. Poursuivi par l’Agence de l’environnement pour avoir, par deux fois, pro- cédé à un ancrage illégal dans la réserve naturelle marine. Une première fois en septembre 2013. A Colombier. Quatre de ses bateaux s’étaient mis à l’ancre alors même que des bouées de mouillage étaient libres. Une seconde fois trois mois plus tard, en décembre 2013. A l’Anse Gros Jean, cette fois. Avec un seul bateau en cause. Pour les premiers faits reprochés, le loueur béné- ficiera de la prescription. Aucun acte d’instruction n’ayant été réa- lisé un an après. Pour le second, en revanche, le vice-procureur a demandé 300 euros d’amende pour non respect de la règlementa- tion dans la réserve. L’Agence de l’environnement et la Collecti- vité, qui se sont constituées partie civile, ont demandé la répara- tion du préjudice subi sur l’herbier. L’avocat du loueur de bateaux a soulevé la nullité de la citation. Pointant notamment le fait que les sanctions pénales liées au code de l’environnement n’ont été entérinées que récemment, en juin dernier. Soit bien après les infractions reprochées. Le jugement du tribunal a été mis en déli- béré au 9 février.






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Thursday 1 December, the Criminal Court sat on our island in a mobile audience. On the premises of the Multi-professional Economic Chamber (CEM). Among the cases at the hearing were the offenses alleged against a boat-owner. Pursued by the Environment Agency for having twice illegally anchored in the marine nature reserve. A first time in September 2013. At Colombier. Four of his boats had set sail at anchor while buoy mooring buoys were free. A second time three months later, in December 2013. At Anse Gros Jean, this time. With only one boat involved. For the first offense, the landlord will benefit from the limitation period. No investigation took place one year later. For the latter, on the other hand, the deputy prosecutor asked 300 euros for fines for non-compliance with the rules in the reserve. The Environment Agency and the Collective, which joined as a civil party, sought compensation for the damage sustained on the herbarium. The lawyer of the boat-owner raised the nullity of the quote. Noting in particular the fact that the penal sanctions linked to the environmental code were only recently ratified last June. Well after the offenses charged. The court judgment was deliberated on 9 February.

And back to French

Jeudi 1er décembre, la Cour pénale s'est installée sur notre île dans un public mobile. Dans les locaux de la Chambre économique multi-professionnelle (CEM). Parmi les cas à l'audience figuraient les infractions reprochées à un propriétaire de bateau. Poursuite par l'Agence pour l'environnement pour avoir deux fois illégalement ancré dans la réserve naturelle marine. Une première fois en septembre 2013. A Colombier. Quatre de ses bateaux avaient navigué à l'ancre tandis que les bouées de mouillage étaient libres. Une deuxième fois trois mois plus tard, en décembre 2013. A Anse Gros Jean, cette fois. Avec un seul bateau impliqué. Pour la première infraction, le locateur bénéficiera du délai de prescription. Aucune enquête n'a eu lieu un an plus tard. En revanche, le procureur adjoint a demandé 300 euros pour des amendes pour non-respect des règles de la réserve. L'Agence de l'environnement et le Collectif, qui a adhéré en tant que partie civile, ont demandé réparation pour les dommages subis sur l'herbier. L'avocat du propriétaire du bateau a soulevé la nullité de la citation. Notant en particulier le fait que les sanctions pénales liées au code de l'environnement n'ont été que récemment ratifiées en juin dernier. Bien après les infractions accusées. Le jugement a été délibéré le 9 février.
 
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