Maybe there's no food in the pond for the egrets. Wasn't there some story about the water quality being poor/under oxygenated? No oxygen = no fish and no fish = no fish hunters.
Maybe they all left for the breeding grounds. Egrets nest in big colonies in the tops of trees and if there was rookery on the island, you'd know it!!
Have you seen them in April before?
Maybe they're just playing an April Fools trick on you?!?!?!
Bart is right, that pond is super polluted and unless somebody does something there will be fewer and fewer birds... Becky, our professional bird photographer, has noticed the same thing, its sad for sure...
In all fairness, I don't think the findings were that the lagoon is super polluted. There is runoff contamination, but there's also silting and other factors (like being severed from its link with the bay and the water turnover that provides) leading to the lack of oxygen which is killing fish and making the lagoon less attractive to the fish-eating birds.
But, it's certainly too polluted to be reopened to the very fragile ecosystem of the bay before it's dredged and cleaned up.
It's bad enough that the pond is having difficulties supporting fish life, but when I think of super polluted, I expect to read about an invasion of technicians descending to test for the prevalence of cancer or other illness causing chemicals. Is that the current situation?
Hmm, I just reread the following article, and I see nothing even suggesting "super polluted". I see mainly talk about silt. Where did you read this "super polluted" characterization?
Le Journal 23 février 2012 Un projet pour sauver l’étang de Saint-Jean
??L’étang de Saint- Jean est menacé d’asphyxie. Pour preuve, le pourtour de l’étang était une nouvelle fois jonché de poissons morts, il y a encore quelques semaines (voir JSB n° 959). L’étang s’envase peu à peu et joue de moins en moins son rôle de filtre des sédiments qui se déversent des flancs des mornes environnants. Au risque de voir, à terme, ces sédiments polluer la baie de Saint-Jean voisine. Dès lors, adieu la carte postale. Car l’étang de Saint-Jean, comme les quatre autres étangs res- tant à Saint-Barthélemy (Saline, Toiny, Grand Cul- de-Sac et Petit Cul-de-Sac) est essentiel à la préservation de l’écosystème de l’île. « Si on ne fait rien, la baie de Saint-Jean est condamnée. Elle sera envasée et couverte d’algues et la barrière de corail va mourir. Il faut bien que les gens comprennent les
conséquences à long terme d’une non-intervention», interpelle Hélène Bernier, présidente de l’association Saint-Barth Essentiel. Ce problème a été porté à la connaissance de... Roman Abramovitch, il y a déjà quelques années. L’homme d’affaires, qui possède une résidence à Saint-Barthé- lemy, a souhaité faire quelque chose. L’administra- teur de ses biens sur l’île, Jim Boos, entend parler d’un pro- blème similaire, affectant un étang d’ Anguilla. Des tra- vaux ont été entrepris pour le désengorger et depuis tout est rentré dans l’ordre. Serait-il possible de faire de même à Saint-Barthélemy ? Pour le savoir, Roman Abramovitch a financé une étude, com- mandée à l’institut américain Ocean Earth Technologies. En 2010, les scientifiques de cet institut se mettent au tra- vail. Ils procèdent d’une part à de multiples analyses,
notamment afin de détermi- ner comment l’étang et la baie de Saint-Jean interagis- sent. Pour, au final, proposer un projet de sauvegarde de l’étang. Ce projet propose d’abord de draguer le fond passablement envasé, ce qui réduit la profondeur de l’étang. La vase récupérée, faute de pouvoir être évacuée ailleurs, serait accumulée au centre de l’étang pour former une île artificielle, re-végéta- lisée. Pour aider l’étang à jouer son rôle de filtre, une tranchée, d’un mètre de large, serait creusée tout autour, pour y récolter les sédiments déversés à flanc de morne, lors des fortes pluies. Et près d’une dizaine de bassins exu- toires, le long de cette tran- chée, permettraient de récu- pérer ces sédiments. Enfin, de manière à rétablir une connexion entre eux, ce pro- jet propose de percer un canal souterrain entre l’étang et la baie de Saint-Jean, qui
déboucherait dans la baie au large de l’Eden Rock. Jim Boos a déjà fait part de ce projet à Bruno et Michel Magras. Et il a récemment été envoyé aux services tech- niques de la Collectivité par Saint-Barth Essentiel. « Il y
en a facilement pour quatre à cinq ans de travaux », juge Sophie Olivaud, directrice des services techniques. S’ils n’ont pas été exactement chiffrés, il est peu probable que ces travaux coûtent moins de 3,5 millions d’euros. Mais la Collectivité peut- elle les financer, en même temps que d’autres projets coûteux comme l’EHP AD ? «Pour que les choses avan- cent, il faudrait que la popu- lation en fasse clairement la demande», estime Jim Boos.