The Storming of St. Barth in Vanity Fair

Well...This whole discussion is what I was fearing when I last visited in "busy" August. I picked up a copy of pure magazine (of course I just read the articles) and there was an article about Bruno in it. I read it and and my impression of him was that he was very pro development but he tried to soften his words by adding that you have to be balanced. Anyway, I really think that the road improvements and infrastructure improvements are just stepping stones to a long term plan of development. Hopefully, the planners appreciate how precious the golden eggs are and understand how to keep the goose alive.
 
KZ1300A1 said:
Hopefully, the planners appreciate how precious the golden eggs are and understand how to keep the goose alive.

most resorts which don't have actual planning boards made up of many people with diverse backgrounds dont.....our resort has a planning board made up of 9 people ( one being my wife ) so its very hard for one person to push an agenda through...checks and balances etc

I dont get the impression thats how it works in St Barts

time will tell..

either way..it's their destiny...not ours
 
Nice article. I'm glad she got hooked up with Helene Bernier. I've become a supporter of her organization, Essentiel St. Barth, and I encourage others to do so as well.

P.S. Great video of the Grand Fond coast, a view I enjoy at least 120 mornings/year.
 
JEK said:

Well, personally I love the charm of Corossol and the solitude of Grand Fond's coastline and little hamlet, but is that more the "real" St-Barth or this?
med_1293025646-imagesCAAR4NDX.jpg
I think for many St-Barth visitors and residents it's the latter, n'est-ce pas ?
 

Attachments

  • imagesCAAR4NDX.jpg
    imagesCAAR4NDX.jpg
    9.7 KB · Views: 327
In the PURE magazine No7 there is a large article on Helene Bernier. She has good points like let the "eco" resort buy the abandoned Grand Cul de Sac project (cement is eco) .
 
KZ1300A1 said:
Well...This whole discussion is what I was fearing when I last visited in "busy" August. I picked up a copy of pure magazine (of course I just read the articles) and there was an article about Bruno in it. I read it and and my impression of him was that he was very pro development but he tried to soften his words by adding that you have to be balanced. Anyway, I really think that the road improvements and infrastructure improvements are just stepping stones to a long term plan of development. Hopefully, the planners appreciate how precious the golden eggs are and understand how to keep the goose alive.

There are two sides to every story. Here's M. Magras' side from his Facebook page. I'll translate it when I get a chance. Let's just say for now that according to him there's a lot of lying and hysteria goin' on...

Mise au point de Bruno MAGRAS suite à la publication d'un article intitulé "Tempête sur Saint-Barth" par Saint-Barth Essentiel par Ump Saint-Barth, mardi 11 janvier 2011, 17:45
La critique est facile, c’est l’art qui est difficile

Si le réseau social Facebook s’avère être un formidable outil de communication lorsqu’il met en valeur les hommes, leur cadre de vie, leurs actions pour protéger la planète, leurs luttes en faveur des plus démunis, leurs combats contre la dérégulation des marchés financiers… que doit-on en penser lorsqu’il facilite le dénigrement, divulgue les mensonges et fait naître au sein des peuple, la haine, le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme ?

Dans un article publié par la journaliste Vicky WARD dans le magazine "Vanity Fair", le Président de la Collectivité de Saint-Barthélemy, ainsi que les familles autochtones qui ont fait de l’île ce qu’elle est aujourd’hui, ont été gratuitement dénigrés, par quelques illuminés, qui pour assouvir leur soif de pouvoir, usent d’arguments les plus fallacieux, qui d’ailleurs ne les honorent pas, pour tenter de déstabiliser ceux qui sont aujourd'hui en responsabilités. Quelle honte !

Pour répandre leurs méfaits, voilà qu’après avoir été publié en langue anglaise, l’association « St-Barth Essentiel » a fait traduire cet article en français et le diffuse bien évidemment sur Facebook.

Or qu’en est-il exactement ?

Comme les 500 autres pétitionnaires, Monsieur André BALAZS, qui a acheté auprès de familles locales, 50% d’une propriété aux Salines, a sollicité, dans le cadre de l’élaboration de la carte d’urbanisme de l’île, le déclassement d’une partie de sa propriété pour y réaliser un hôtel de type "Eco Resort" d’une capacité de 40 chambres. Projet qu’il entendait réaliser non pas sur la plage des Salines, mais en arrière plan de la dune sérieusement fragilisée par une ancienne carrière de sable.

Comme beaucoup, Monsieur BALAZS a été reçu à sa demande par le Président de la Collectivité et comme à beaucoup d’autres il lui a été répondu que sa demande serait analysée par le Conseil Territorial. Contrairement aux allégations mensongères de Maxime DESOUCHES, il n’y eut aucun engagement de ma part en faveur du projet BALAZS.

Saisissant la balle au bond, trois associations, dont l’une conduite par Monsieur Benoît CHAUVIN, candidat malheureux aux élections territoriales de 2007, jugèrent utile de formanter un petit « coup politique » en faisant signer une pétition en faveur d’un maintien du secteur en zone naturelle et en sollicitant l’organisation d’une consultation populaire.

Dans sa séance du 23 novembre 2010, le Conseil territorial, adoptait à l’unanimité à l’exception de Monsieur CHAUVIN, la carte d’urbanisme, maintenant la propriété de Monsieur BALAZS en zone naturelle !! Ainsi, la manœuvre politicienne a échoué.

S’agissant de Monsieur ZARA, qui n’a d’ailleurs pas hésité à remettre en cause les propos qu’il a tenu à la journaliste, là encore de quoi s’agit-il ?

Monsieur ZARA co-dirige une compagnie aérienne « Tradewind Aviation ». Cette compagnie a obtenu légalement le droit d’opérer des vols entre le territoire américain et le territoire français. Sur ce point il n’y a rien à redire. Cependant, à plusieurs reprises, comme peuvent le prouver les Autorités de l’Aviation Civile française, cette compagnie a effectué des vols entre le territoire français et le territoire néerlandais de Saint-Martin, ainsi que vers le territoire anglais d’Anguilla.

Concurrent direct de St-Barth Commuter, j’en ai discuté avec Monsieur ZARA, qui m’a sans doute, pris pour un idiot. J’ai donc alerté la Direction des Transports Aériens à Paris. Furieux, Monsieur ZARA a mis à la manœuvre son amie journaliste.

Or, quel chef d’entreprise, soucieux de la survie de sa société et de la sauvegarde de l’emploi de ses salariés, aurait agi autrement ?

Sélectionné pour être interviewé, Monsieur HENNEQUET, qui manifestement, n’a toujours pas digéré le fait de n’avoir été nommé ni au Conseil Economique Social et Environnemental national, ni au Conseil Economique, Social et Culturel local, prend une ignoble revanche, en essayant de faire naître une animosité entre les familles locales installées dans l’île depuis plus de trois siècles et les métropolitains fraîchement implantés ! Comment qualifier un tel comportement ? Ajouter à cela, par ignorance ou par méchanceté, il se permet d’insulter les élus de l’île qui l’ont accueilli en affirmant que ceux-ci ne font que suivre l’avis du Président et qu’ils ne reçoivent les documents sur lesquels ils doivent statuer, qu’en ouverture de séance, alors que la loi nous fait obligation de les leur communiquer 12 jours avant, sauf en cas d’urgence où le délai est réduit à 5 jours !

Toujours selon le torchon en circulation, le Président de la Collectivité, serait totalement méprisant au regard des enjeux environnementaux !!

Bien évidemment je fustige et je le ferai toujours, les arguments sectaires des « écolos rétros » nostalgiques de la lampe à pétrole. Je fais partie des réalistes, ceux qui sont conscients que pour sauvegarder l’avenir de Saint-Barthélemy, il est impératif de concilier : le développement économique, la solidarité sociale et la protection de l’environnement.

N’en déplaise à mes détracteurs, c’est ce trépied qui a d’ailleurs toujours guidé mon action. Et je suis particulièrement fier d’avoir été le premier Maire, qui dès son accession au pouvoir, a fait élaborer et appliquer des Modalités d’Application des Règles Nationales de l’Urbanisme : à avoir fait installer une Usine de traitement des déchets agrée aux normes environnementales avec récupération de la vapeur pour produire de l’eau potable, à avoir lancé la politique d’enfouissement des réseaux électriques et téléphoniques, à avoir construit un Centre de tri sélectif, à avoir créé une « Brigade verte » pour l’entretien et la propreté de l’île, à avoir mis en place le nettoyage régulier de nos plages, à refaire nos routes en reconstruisant les murets qui les bordent, et j’en passe.

Combien parmi sont ceux qui se disent protecteurs de l’environnement, auraient réhabilité la vieille maison qui se trouve à proximité de l’hôpital de la façon dont je l’ai fait ? Combien sont ceux qui aurait sauvegardé la « maison traditionnelle verte » ou s’entraîne le groupe « Les Romantiques » comme je l’ai fait ? Combien sont ceux qui sur une propriété de 9000 mètres carrés - acquise parcelle par parcelle et non héritée de mes parents -, auraient comme moi, planté des arbres fruitiers plutôt que de construire des maisons à louer ?

A la sincérité des paroles, je préfère la preuve des actes. C’est l’expérience vécue qui me dicte cette précaution.

Bruno MAGRAS
 
[The essential of what Monsieur Magras had to say, after several opening salvos challenging the methods, motivation, and honor of those involved in this affair:]

The 40 room hotel development that André Balazs proposed in Salines, on land purchased from local families and for which he requested a variation from the urban zoning map, was not intended to be constructed on Saline beach itself but behind its dune, already compromised by an old sand quarry.

Like many others, M. Balazs was received at his request by the president of the COM, and like many others he was informed that his request would be considered by the Conseil Territorial. Contrary to the false accusations made by M. Maxime Desouches, there was no committment on my part in favor of the project.

Attempting to seize the political moment, M. Benoît Chauvin, unsuccessful candidate of the 2007 territorial elections [whence M. Magras' party captured 72% of the vote and 16 of 19 seats on the Conseil Territorial], attempts a political "coup" by drafting and circulating a petition calling for the preservation of the urban zoning map's "zone naturelle" and soliciting the organisation of a referendum on the measure.

Amazingly, during the November 23, 2010 meeting of the Conseil Territorial, the Conseil adopted by 18/19 votes the urban zoning map maintaining the "Balazs" property in the "zone naturelle". The lone dissenting vote was...Monsieur Chauvin!!!

As concerns M. Zara, co-director of Tradewinds Aviation, who following the publication of the Vanity Fair article has challenged the quotes attributed to him, I have this to say: Tradewinds Aviation is authorized to operate flights between American and French territories. On multiple occassions, however, Tradewinds operated flights between French and Dutch and French and British territories. As a direct competitor of St-Barth Commuter [of which M. Magras is the sole proprietor] I discussed the matter with M. Zara who, apparently taking me for an idiot, was surprised when I referred the matter to the proper authorities in Paris and took his revenge by siccing his journalist friend on me.

According to one citizen selected to be interviewed for the article, Monsieur Hennequet, apparently disgruntled over not being selected to serve on various committees, the elected officials of the island are nothing but my lacqueys informed of meeting agenda and of how they should vote minutes before the start of Conseil meetings. The law however obliges that members be given documents requiring their vote 12 days before meetings except in case of emergencies where that period is reduced to 5 days!

Regarding environmental issues, I am said by this rag of a publication to be totally disdainful. Obviously, I reject and will always denounce the intolerant arguments of these "retro environmentalists" yearning for the days of kerosene lamps. I am a realist. I am conscious of the facts that in order to protect the future of St-Barth it is imperative to reconcile economic development, social solidarity, and protection of the environment.

[M. Magras goes on to list several examples of projects he has initiated demonstrating his interest in protecting and preserving the history, traditions, and natural beauty of the island]
 
ah yes...and as always is the case...some where in the middle, between the "he said she said " lies the truth, and more importantly..the solutions
 
Sorry to be a necroposter but I just came across this VF article again. Is the Saline project permanently dead and buried? The abandoned hotel on Grand cul de sac - did that become Le Barthelemy?
 
Top